Cette pièce utilisant un looper de type assez classique montre néanmoins une grande efficacité dans le montage initial des boucles, évitant la “phase de décollage” parfois un peu longue souvent associée à ce type d'outil.
L'utilisation d'un looper basé sur un automate fini permet d'atteindre une structuration musicale relativement complexe tout en déchargeant l'esprit de l'interprète de détails techniques qui pourraient restreindre sa liberté d'improvisation.
Plus de détails sur la borne interactive mise en place pour la Linux Audio Conference 2014.
En jouant sur ses paramètres, on peut transformer un looper en “outil à canon”, permettant des réalisations complexes comme ce Canon de Pachelbel exécuté par un mélodiste en solo.
Plus de détails sur la borne interactive mise en place pour la Linux Audio Conference 2014.
Dans cette version humoristique de L'Ave Maria de Bach-Gounod, une réverbe avec niveau d'entrée variable permet de prolonger certaines notes jouées par la flûte basse, imitant ainsi la pédale sostenuto des pianos à queue.
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Le fait de tourner un seul son en boucle a vite tendance à provoquer des “clics” désagréables. Dans cette pièce, la voix de l'exécutant est transformée en texture sonore souple (à partir de 1'04'') en combinant deux lecteurs de la même boucle avec des crescendi et decrescendi soigneusement calibrés.
Plus de détails et d'autres extraits sonores utilisant cette technique sur la borne interactive mise en place pour la Linux Audio Conference 2014.
D'autres pièces ont été données en concert mais ne sont pas encore documentées sur cette page: